Alisoa D. Spisser
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Date d'inscription : 03/08/2009
Age : 31
Localisation : Amiens, Picardie.
 |  Sujet: La tristesse est le devoir de l'homme Libre  Jeu 13 Aoû - 2:18 | |
| Le soleil brille, les oiseaux chantent, c'est une belle journée Alisoa est dans le parc. Silencieuse , elle relit un ancien cours de potion, cherchant désesperement ce qu'elle peut bien avoir oublier pour qu'elle rate une potion de sommeil habituellement de couleur violette, mais celle de la jeune Serdaigle c'était plutôt transformer en une couleur grisée qui ne donne pas vraiment envie d'en prendre.
Elle ne trouve pas et ça l'énerve, c'est embêtant pour une Sedaigle de ne pas trouver la faute que l'on fait, eux qui sont tellement intelligents sont sensé ne pas en faire ou alors la trouver instentanément.
La musique sur les oreilles, elle regarde son livre d'un regard vide, c'est peut être aussi pour cela qu'elle n'arrive pas à se concentré, mais impossible d'arriver à penser convenablement sans que d'autres choses lui viennent en tête et l'empêche de travailler. En ce moment elle se sent nul, impuissante, jalouse et tout ça l'aide pas à aller mieux, parfois elle se demande comment on peut faire pour ressentir autant de choses et ne pas faire de crise cardiaque par derrière; tout l'inquiète, tout la surprend, tout lui met le coeur à l'envers et Alisoa n'arrive pas à s'en sortir, elle sombre, elle n'en peut plus.
Sa vie n'est pas des plus simple, être la confidente d'un homme aillant perdu la femme qu'il aime et l'aimer en secret derrière son dos, être l'une des meilleure amie d'une fille avec qui elle se dispute et se réconcilie aussi vite que un éclair et être jalouse de chacune de ses amies, de ses aventures, être jalouse de savoir qu'elle a coucher avec Raphaël...
En ce moment plus rien ne va, son coeur est fatigué, elle na plus envie d'aller en cours, parfois elle aimerait mourir.
Tu vas te rendre folle ma pauvre fille...
Se parler toute seule est parfois une très bonne thérapie, sauf que Alisoa c'est toujours parler toute seule...
D'un claquement sec le bouquin se ferme et la jeune femme se lève, ses fesses sont douloureuses d'être resté trop assise pendant tout se temps, l'appareil moldu qu'elle tien dans sa main et qui diffuse de la musique s'arrête, elle range tout cela dans son sac, de toute façon ça n'avance pas son travail, sa mémoire flanche, c'est limite à se rappeler ce qu'elle avait mis dans cette fameuse potion.
Ses pas la guide vers l'intérieur du château, de toute façon la serdaigle na rien à faire, personne ne l'attend, en même temps elle est entrain de sécher un cours, donc ce n'est pas surprenant.
Qu'est ce qu'il y a ce soir ?
Une fête ? En tout cas pas d'invitation à l'horizon, la jeune femme va surement devoir aller se coucher de bonne heure encore une fois, en même temps, mieux vaut ne pas se fondre dans la masse, ça ne sert à rien, ça ne rime à rien, Alisoa préfère restée seule, au moins personne ne lui rajoutera un fardeau sur le coeur, par pitié surtout pas en ce moment.
L'heure de manger est dans plus d'une heure et demie, mais quand même, c'est l'endroit où ses pas l'embarque, alors on ne va pas aller contre nature, peut être que là au moins personne ne va venir l'embêter, sauf dans moins de dix minutes où l'heure du dernier cours va sonné, misère.
La rouquine s'assis sur la table de sa maison, les piafs, elle est au bord, elle regarde les couloirs vides, quand mêmes quelques bruits quelque élèves ont des heures de trous mais surement pas des gens qu'elle connait. La jeune femme sort un album photo de son sac, il est moldu les photos ne bougent pas, elle les regarde, ses parents, sont frère, ses amis, Alisoa est triste de l'état où elle se trouve, à eux aussi elle leur fait du mal, elle le sait, personne ne sait ce qu'elle à, surtout Raphäël et Kaitlyn sinon il ne lui servirait en rien de ce mettre dans un état pareil.
La table est dure mais la jeune femme se couche dessus, regarde le ciel magique puis ferme les yeux.
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